Formations en langue arabe
Bachelors, mastères en langue arabe
Ouvertes depuis la rentrée 2020-2021, les formations en langue arabe de l'ESJ Paris
"EAD AR" = "Enseignement A Distance en Arabe"
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Bachelors, mastères
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enseignement à distance
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journalisme, communication, relations internationales, Intelligence artificielle
Pour plus d'informations : cliquez ici
Les formations en langue arabe sont identiques à celles délivrées en langue française, validées par les mêmes diplômes, sur les mêmes bases pédagogiques, les mêmes certifications et les mêmes règles sous le conyrôle de la Direction pédagogique: Etat, RNCP, Qualiopi, formation professionnelle, formation continue, Education nationale, déontologie de la profession, enseignement initial...
Les filières sont celles mises en place depuis 1899, il y a 125 ans,
Tous nos enseignants sont des professionnels diplômés et reconnus.
Laïque, sociale et républicaine
Les autres célébrités enseignant à l’école furent les écrivains Anatole France, Charles Péguy, Romain Rolland, les compositeurs Gabriel Fauré, Claude Debussy, Maurice Ravel, mais aussi des Présidents du Conseil, parmi lesquels les futurs présidents de la République Raymond Poincaré, Paul Deschanel, Alexandre Millerand, Paul Doumer, Gaston Doumergue, Maurice Schumann. Ils contribuèrent à établir la solide réputation de sérieux et de dynamisme de l’établissement.
De grands noms
Personnel, enseignants et élèves dispersés par la guerre, l’école pourtant ouvrit encore plus largement ses portes aux femmes et aux étrangers, ceux retenus en France et ceux issus de pays neutres, pendant les hostilités. En 1942, les tentatives d’entrisme de quelques intellectuels pronazis conduisirent ses responsables à fermer l’école sans heurts pour ses élèves.
Reprise en main en 1945 par André Le Jules, fraîchement démobilisé à la Libération, l’ESJ s’installa 4, place St Germain (44 rue de Rennes), formant de nombreuses personnalités, journalistes comme auteurs, comme Léon Zitrone, Patrick de Carolis, Bernard Werber ou encore Philippe Djian et Gérard de Villiers, mais aussi beaucoup d'étrangers qui devinrent des cadres des médias dans le monde nouveau d'après-guerre, Turcs, Américains, Libanais, etc.
En 1991, gérée par le Centre d’Études Politiques et de la Communication, présidé par Henri Amouroux, ancien élève de l’ESJ, mais aussi résistant et fondateur de Sud-Ouest, l’ESJ rejoignit le quartier d'urbanisme expérimental de Tolbiac, sous la direction du Professeur Pascal Chaigneau, administrateur délégué général qui alors recruta ceux qui firent de cette école la première école de formation en télévision et en radio, Michel Zlotowski et Philippe Abiteboul et Alain Passerel.
Parmi les anciens de la maison plutôt médiatisés au cours de la Vème République, on compte Patrick de Carolis, Henri Sannier, Caroline Henry, mais aussi, Audrey Pulvar, Erika Moulet, Claire Barsacq ou encore Malek Boutih et tant d’autres.
L’ESJ Paris est distinguée avec d’autres grands établissements, aux côtés des Instituts de Sciences Politiques et des principales écoles de journalisme (ESJ-Lille, CFJ) par décret du Premier Ministre en 1995 lui accordant la possibilité de délivrer un Diplôme de Formation Supérieure en Journalisme (DFSJ, niveau maîtrise).
De 2006 à 2008, la rénovation de l’ESJ et son adaptation à l’ère technologique sont conduites par une équipe détachée par le groupe LMD, spécialisé dans l’enseignement de la communication et de l’analyse des médias ; l’ESJ Paris s’ouvre enfin à l’Europe. Elle retrouve son rôle de grande école de journalisme et reconnaît la nécessité de l’évolution des médias et de la formation des journalistes polyvalents en presse écrite, radio, télévision et web.
De 2007 à 2010, l’ESJ accueille ainsi la première webradio francophone, Fréquence 3, ainsi que la Fondation pour l’Analyse des Médias et de l’Opinion, son pôle de recherche. L'ESJ lance également sa webradio : Fréquence ESJ.
Première école de journalisme au monde
Si l’ESJ Paris en 1899 devient la première école de journalisme créée dans le monde, elle avait été précédée par un programme spécifique d’enseignement du journalisme, de courte durée, à la demande du Général Sudiste Robert E. Lee, au cours de sa présidence de l’Université Washington and Lee University, à Lexington en Virginie au cours des années 1860. La première école américaine est créée à l’Université du Missouri en 1908.
Bien que réclamée par les universitaires et les intellectuels, la création d’une école de journalisme en France se heurte, à la fin du 19ème siècle, aux positions des patrons de presse notamment. Il faudra attendre 1924 pour que les milieux catholiques et cléricaux nationaux poussent à la mise en place de l’ESJ Lille. La deuxième vie des écoles de journalisme commencera à la Libération avec l’ouverture du CFJ, forçant toutes les autres à s’aligner sur ce qui reste aujourd’hui, primum inter pares, qui signifie littéralement « premier parmi les pairs ».
Première école de journalisme au plan historique, l’ESJ Paris l’est aussi par son ouverture aux réalités sociales et humaines, elle l’est aussi par le nombre de ses anciens élèves. Elle reste aussi aujourd’hui une des rares écoles de journalisme privées et indépendantes, sans aucune aide de l’Etat ; une des exceptions parmi les 90 formations au journalisme recensées en France en 2011.